Open Space

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Open Space

Ce n’est un secret pour personne : on ne mélange pas le travail et les sentiments ! Et Anne-Lise a la ferme intention de se conformer à cet adage. Mais tout le monde n’est pas de cet avis, à commencer par Tia, la craquante stagiaire, bien décidée à lui prouver le contraire. 

Aussi, lorsque la mise en œuvre d’un nouveau projet lui donne l’occasion de s’échapper du bureau, Anne-Lise pense reprendre le contrôle de la situation. Cette fois-ci, la relation avec sa nouvelle collaboratrice, Dorothée, restera strictement professionnelle.

À moins que… 
 

Mot de l’éditeur

Pour son cinquième roman, Véronique Bréger renoue avec la romance et retrouve le ton enjoué de Champ, contrechamp.

Il était une fois… Open space 

1ers mots : mars 2007

Version initiale achevée : décembre 2007 

Entre mars 2006 (version initiale de A titre provisoire achevée) et mars 2007, démarrage de l’écriture de Open space… 1 an, tout pile.  

Open space… espace ouvert, ou bureaux sans cloisons que l’on trouve de plus en plus dans les entreprises. 

Cela faisait quelques temps déjà que je pensais écrire une histoire se déroulant dans une grande entreprise. L’Entreprise avec un grand E. La grosse Entreprise du CAC 40. Celle où tous les coups sont permis. Où les êtres humains se transforment tout à tour en prédateurs, en larves, en ours, en moutons, en perroquets, en paons, tout un bestiaire haut en couleur.

Une entreprise, c’est comme une ville dans la ville. Un état dans l’état. On y croise des personnes que l’on n’aurait pas croisées dans notre environnement personnel. Des personnes avec qui on se retrouve obligé de collaborer, d’autres (plus rare) avec qui c’est un plaisir de travailler et plus si affinité…

Je n’ai pas la statistique en tête, mais le nombre de couples qui se forment grâce à la rencontre en milieu professionnel est à priori assez important. Passer en moyenne, 8 heures par jour avec ses collègues de boulot… ça créé des liens…  

L’entreprise reste un milieu hostile inapproprié à la délicate alchimie de la jonction entre deux êtres, pour autant, des surprises aussi inattendues qu’ingérables sont possibles…

Open space est une histoire de rencontres, dans le sens : interférences, télescopages, confrontations…

Dans et à l’extérieur de l’Open space, il y a Anne-Lise, la responsable informatique, sorte d’exécutive woman qui considère le boulot comme une planche de salut à tous les maux. Tia, la stagiaire qui n’a pas encore intégré tous les codes de l’entreprise. Tom, le consultant perfectionniste. Irène, la chef de projet capable de ruiner tous les efforts de ses subordonnés en une seule phrase. Julien, le collaborateur idéal. Dorothée, la développeuse montée à Paris pour construire sa vie. James Brown, le poisson rouge fataliste.  

Il va suffire d’un incident pour que tout ce petit monde se trouve réuni… pour le meilleur et pour le pire. 

Le titre initial d’Open space était : La traçabilité de la faille.

Traçabilité, comme : suivi de ce qui se déroule d’un point de départ à un point d’arrivée. Faille, comme : séisme, fêlure, chemin. 

Ce roman est une fiction. Même si j’ai emprunté quelques situations à mon quotidien professionnel, toute ressemblance avec des évènements, des personnes, serait fortuite et involontaire… forcément.  

Quoiqu’il en soit, la réalité dépasse toujours la fiction… 
 

Les musiques du livre

Pendant l’écriture d’Open space j’ai écouté…  

  • Norah Jones : Not too Late
  • Sara Bareilles : Careful Confessions
  • Aurah : Aurora Borealis
  • Colbie Caillat : Coco


Commander

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